A LIRE AVANT DE POSTULER !

Bonjour,

Bienvenue à la paillotte de l'Epée et la Pioche. Je m'appelle R'sours Youmain. Je suis chargé de l'accueil de nos potentiels futurs membres. Si tu te trouves près de moi c'est que l'un de nos guildeux t'as indiqué l'adresse de notre centre de recrutement.
Sache d'abord que nous somme une guilde RP (ou Role Play) regroupant de valeureux guerriers mais aussi de nobles artisans.

Hum... tu me dis que tu ne connais pas (ou mal) le Rp. Rassure toi, en suivant mes petits conseils, tu pourras réaliser une bonne candidature. Pour commencer, je te confie donc la lecture de cet article paru sur notre forum.
R'sours Youmain vous tend ce parchemin.

Si jamais cela ne suffit pas je te conseil de regarder quelques candidatures acceptées pour te faire une idée plus précise. Tu peux même voir des candidatures refusées pour savoir de ce qu'il ne faut pas faire.

Quelques minutes plus tard

-Bien maintenant que tu connais mieux le Rp, laisse moi te donner quelques conseils pour ta candidatures :

Compte nous l'histoire de ton personnage (celui de dofus, pas celui derrière cet écran). Pour ce faire tu peux t'aider de la situation que nous te proposons immédiatement après ce poste. L'essenciel est de nous montrer que tu as compris ce qu'est le Rp (même s'il n'est pas parfait). Notre avis se base essentiellement sur le Rp pour accepter ou refuser une candidature.

Peut importe ton niveau, ta classe ou tes métiers, non ne jugeons pas les candidats là dessus. Nous préférons largement un petit level gentil et bavard qu'un gros level égoïste et taciturne.

Il est préférable de ne pas trop faire parler les membres de la guilde dans ta candidature, sauf si cela t'aide dans ton histoire. En effet, encore une fois c'est ton persannage qui doit être au centre de l'histoire. Nous connaissons déjà les membres de la guildes.


Voilà maintenant c'est à toi de jouer, voici une plume, de l'encre et une feuille de papier, il ne te reste plus qu'a poster ta candidature sur notre Forum. Et surtout n'oublie pas de mettre ton nom pour que nous puissions te contacter en Amakna.


Note en tout petit au bas de la feuille que R'sours Youmain vous tend :
Si les membres de la guilde donne un avis favorable, tu seras accepté pour une période d'essais qui dure de 2 à 4 semaines.
Après tout ça et la délibération des membres de la Guilde, tu seras un membre à part entière.

Voici une situation à partir de laquelle vous pouvez commencer votre candidature ; laissez dériver votre imagination, planer votre esprit, frappez sur vous même en tournant dans vos mains !

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Les rumeurs couraient à leur sujet.
Certaines racontaient qu’ils étaient tapis dans une cave sombre, combattant des monstres féroces. D’autres disaient qu’ils étaient en haut d’une tour gigantesque, face à un improbable dragon. D’autres encore les décrivaient acoudés au comptoir d’une taverne miteuse, où la bière frelatée mais goûtue coulait à flots.
Mais toutes s’accordaient sur un point. Ils étaient toujours en mouvement. Quelquefois, ils restaient au même endroit plusieurs jours, déterminés à finir une tâche d’une quelconque importance ; parfois ils revenaient visiter une plaine, un bâtiment en ruines, une île dangereuse. Mais il était impossible de les localiser avec précision tant leurs objectifs semblaient aléatoires.

Mais cela ne devait pas vous arrêter. Vous aviez décidé de les attendre à un endroit qui vous semblait fortement susceptible de susciter leur intérêt.
Vous marchiez en direction de la zone déboisée au milieu de la forêt, que vous traversiez depuis le lever du jour, lorsque vous entendîtes des éclats de voix au loin. Continuant votre progression à travers les sous-bois, vous distinguâtes derière les troncs noueux la lueur vacillante d’un feu au flammes jaillissantes. Le puissant rayonnement de la pleine lune vous avait dissimulé que la nuit était tombée si vite.

Par souci de prudence, vous vous tapîtes dans les fourrés bordant la clairière, inspectant le campement. Vous n’osiez pas imaginer que la chance vous ait sourit à ce point et qu’elle vous ait mené directement à eux, mais la possibilité n’était pas à exclure. Et si… ils étaient vraiment…? Vous les aviez recherché pendant des semaines, ne trouvant à chaque fois que les traces poussiéreuses d’endroits qu’ils avaient quitté depuis bien longtemps. Afin d’en être sûr, vous inspectâtes chacun des joyeux lurons vidant des chopes à grands éclats de rire.

Au plus près du feu se tenait un vieillard plongé dans la lecture d’un livre d’une épaisseur inhumaine, souriant quelquefois lors d’un rire général. Levant une chope d’une main et une cruche pleine à ras bord en quête de verres à remplir de l’autre, un grand homme de fourure noire et blanche titubait de fêtard en fêtard, distribuant des blagues salaces à qui voulait les entendre ou non. Un jeune homme de vert vêtu arborait un grand sourire, appellant le serveur titubant pour remédier à la vacuité de son verre, le bras autour des épaules d’une magnifique jeune femme au long cheveux d’un bleu de nuit sans lune. Non loin, un homme dont les vêtements d’un blanc rayonnant reflétaient la lumière rougeoyante faisait un bras de fer avec une très belle femme au cheveux d’un noir d’ébène. Le feu consumait quelques bûches, mais était alimenté de temps à autre par un homme qui jetait dans les flammes une quantité impressionnante de cartes sorties d’on ne sait où. Tandis qu’une montagne habillée de noir combattait amicalement face au marteau d’un tout petit bonhomme, un second petit vieillard, à la barbe presque aussi rose que les cheveux de la jeune femme plantant des arbres à côté de lui, donnait des coups de pelles dans le sol, apparemment dans l’intention d’enterrer une des bourses qui pendaient à sa ceinture. Pendant ce temps, une femme aux vêtements oranges décochait des flêches sur une cible transparente semblant composée de champs de force, sans doute créés par le jeune homme en orange lui aussi qui se tenait derrière. Les autres aventuriers étaient trop loin dans l’obscurité pour que vous puissiez les appercevoir.

Votre cœur battait à tout rompre. C’était incroyable, mais c’était eux, là, juste à quelques mètres.
L’Epée et la Pioche était devant vous. Vous vous relevâtes et sortîtes des buissons, vous dirigeant vers les effluves ennivrantes de la fête.